Architecte d’intérieur et décoratrice spécialiste des questions de rénovation et de la relation habitat/habitants dans les Pyrénées Atlantiques, Julie Minvielle a proposé et réalisé une alternative à une agence immobilière et son client qui ne parvenaient pas à vendre une vaste habitation. Problématique posée et résultats en images.
Le 28 avril sur Culture Agencement, nous avions fait écho des conseils que Julie Monvielle avait prodigués dans le magazine Psychologies, permettant à chacun de mieux vivre - ou moins subir – la période d’assignation sanitaire à résidence que nous.avons traversée. Cette semaine, nous mettons en avant son travail pratique et sa vision dans l’exercice de son métier, visant à résoudre une problématique dont on ne parle pas souvent – Comment l’architecture d’intérieur peut favoriser la revente d’un bien immobilier ? - et qu’elle a appréhendée au travers de deux défis : briser les 
codes d’une part, et fournir un véritable outil de travail aux agents immobiliers, d’autre part.
Voici son approche :
« Dans ce projet, mon travail est de proposer une alternative à une agence immobilière et son client qui ne parviennent pas à vendre une habitation de plusieurs centaines de M2. Tellement grande que l’on peut y prétendre à 3 appartements très hauts de gamme avec garage, cave, jardin… Bref, un projet ambitieux qui sort totalement de l’ordinaire. Pour cela, des plans à créer, des projections 3D pour valoriser et montrer ce que l’existant peut devenir. Dans ce projet, n’est visible que la piscine découverte du futur loft en rez-de-jardin prévu. Tout le reste est une pure création. Un beau travail de concertation entre les équipes de vente, le client, un archi DPLG pour des spécificités terrain et autres projets autour et moi-même. »
Pour lire la suite et découvrir d’autres visuels révélant le projet abouti, cliquez sur le visuel ci-dessous :
Galerie photos
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